Entourée des fidèles Liv Ullmann et Ingrid Thulin, Harriet Andersson, hier incarnation sensuelle de la jeunesse (Monika), trouve dans Cris et Chuchotements plus beau rôle bergmanien. Le plus intense. Un chant du cygne sépulcral, une élégie d’une beauté infinie, et l’un des plus beaux films de son auteur.
Xavier Jamet, La Cinémathèque française